Huîtres
De 2011 à 2015, la moyenne annuelle de la valeur à la ferme de la production canadienne d’huîtres était de 11,7 millions de dollars. 45 % de la production était en Colombie-Britannique, un peu plus de 30 % à l’Île-du-Prince-Édouard et environ 20 % au Nouveau-Brunswick.
L’huître creuse du Pacifique, cultivée exclusivement en Colombie-Britannique, est la plus cultivée au monde. Elle a été importée par les Japonais spécifiquement pour l’aquaculture canadienne et est aujourd’hui surtout cultivée dans le détroit de Géorgie et sur la côte ouest de l’île de Vancouver.
Légumes racines
En plus d’être délicieux, un des avantages des légumes racines est leur long potentiel de conservation. En effet, lorsqu’entreposés dans des conditions optimales, humides et fraîches, ils peuvent se conserver plusieurs mois. À la température ambiante, ils se conservent en moyenne de 3 à 5 semaines. Autre avantage? Les légumes racines cultivés au Canada sont offerts à longueur d’année! Aucune excuse pour s’en priver!
La croyance veut que l’on doive aux Britanniques l’arrivée des pommes de terre à l’Île-du-Prince-Édouard. Dès le milieu du 19e siècle, la pomme de terre était déjà l’un des principaux produits d’exportation de l’île. Aujourd’hui, avec ses quelque 330 producteurs, dont la majorité sont des entreprises familiales, la province est le plus grand producteur de pommes de terre au pays.
Écran solaire
L’entreprise fait pousser dans ses jardins un grand nombre de fleurs et d’herbes qu’elle assèche et utilise dans la préparation de ses produits.
Si l’on se fie à l’organisme à but non lucratif Produits naturels Canada, le Canada pourrait devenir un chef de file en matière de produits de santé naturels. En 2016, l’organisme a d’ailleurs reçu une bourse de 14 millions de dollars du gouvernement fédéral. L’objectif? Contribuer à stimuler la croissance du secteur des produits de santé naturels au pays.
Batterie de cuisine Avonlea
Saviez-vous que Paderno est le seul fabricant de batteries de cuisine au pays? En effet, les produits en inox des collections Avonlea, Canadiana, ClassIIC et Fusion sont fabriqués à l’Île-du-Prince-Édouard.
Le Canada produit chaque année 13 millions de tonnes d’acier. Plus de la moitié (7 millions) sont exportés.
Veuillez prendre note que tous les produits sur le site sont des produits que j’ai trouvés ou qui m’ont été donnés lors de ma quête. Je n’ai aucune affiliation avec les divers fabricants dont les produits sont sur le site, et aucune entente commerciale ou aucun échange de biens et de services n’a été conclu afin qu’ils y apparaissent. De plus, pour des raisons de proximité, plusieurs des produits que j’ai trouvés lors de ma quête proviennent de l’Ontario et du Québec. Les produits sur le site ne représentent aucunement l’offre intégrale des produits canadiens.
Carnet de bord
@Lauraki_C @PYMcsween #zerodechet pc que ce le contenu de nos poubelles ne disparait pas par magie! Ma vie Made in Canada = vivre avec strict minimum #madeincan!
Est-ce qu’une vie #madeincan peut nous aider à tendre vers le #zérodéchet?
Venez écouter ma réponse – et rencontrer plein de gens hyper intéressants! – au tout premier Festival Zéro Déchet de Montréal, samedi 14 octobre au Marché Bonsecours. C’est gratuit!
** Dès 18h: Projection de Straws et panel Au-delà du déchet **
Dans Le Devoir de ce matin, un article sur le nouveau livre de Normand Baillargeon, «À la table des philosophes», dans lequel il aborde la question du locavorisme:
“Aujourd’hui, plusieurs préoccupations sont au coeur du mouvement locavore, dont principalement l’écologie. Manger des produits locaux permet de réduire la distance parcourue lors du transport des aliments importés de l’étranger et limite ainsi la production de gaz à effet de serre (GES). Un argument contesté par les défenseurs du système de distribution agroalimentaire industriel, qui soutiennent que se déplacer en voiture dans les marchés locaux pour obtenir des produits frais engendre autant, si ce n’est plus, de GES.
« Aujourd’hui, il faut repenser le locavorisme et voir les autres raisons de “manger local”, croit Normand Baillargeon. C’est aussi une façon de lutter contre les entreprises transnationales qui s’approprient le marché, ça crée des liens dans la communauté en favorisant les rencontres avec les producteurs locaux, ça améliore notre alimentation. Il faut réfléchir aux valeurs qu’on veut défendre. »”
Êtes-vous d’accord avec lui?
Nourrir la panse et la pensée avec Normand Baillargeon
«S’alimenter est une nécessité dont nous avons fait un plaisir, autour de laquelle nous avons élaboré des rituels, et qui invite chacun de nous à se faire un peu philosophe», écrit d’emblée Normand Baillargeon dans son livre.
Dans la foulée du plan “Canada créatif” de Mélanie Joly, cette chronique d’Yves Boisvert soulève des questions intéressantes: “Y a-t-il encore un semblant de « nationalisme culturel » à Ottawa ? Il fut un temps où le Parti libéral du Canada était le champion du protectionnisme dans toutes les matières vaguement culturelles. On y était obsédé par la nécessité de dresser une forme de barrière pour protéger le Canada de l’invasion américaine en télé, en cinéma, en musique, dans l’imprimé – tout ça essentiellement du côté anglophone, le français servant de barrière naturelle à l’invasion américaine à bien des égards.
Ça n’a pas donné que des résultats heureux, ça a même créé des dérapages majeurs (Cinar…), mais les objectifs et la stratégie étaient clairs : protéger les créateurs d’ici, promouvoir la création made in Canada, tout ça bien entendu pour construire une forme d’identité collective canadienne.”
Est-il important pour vous de consommer la culture d’ici? Devrait-on être plus protectionniste afin de favoriser les produits culturels canadiens?
Un Canada « créatif »� et colonisé – La Presse+
Où s’en va Mélanie Joly ? Elle est difficile à comprendre dans une entrevue ordinaire, on le sait. Mais quand elle annonce un plan stratégique, quand elle lance « Canada créatif », comme hier,