Riz
La famille Ratuski commercialise ses produits de riz sauvage Floating Leaf en Amérique du Nord depuis plus de sept décennies. Le nom de la marque rappelle le processus de la culture lors duquel des « feuilles » flottent pour permettre à la plante de nourrir sa partie submergée, développer des racines et éventuellement fleurir.
Le riz sauvage est une plante aquatique annuelle qui pousse entre autres dans les lacs et les cours d’eau du nord du Manitoba, de l’Ontario et de la Saskatchewan.
Capsules Cold-FX
Une équipe de chercheurs de l’Université de l’Alberta menée par la Dre Jacqueline Shan a, en 1993, développé une technologie d’extraction brevetée pour identifier et isoler les ingrédients actifs des produits de santé naturels. Ce sont ces recherches qui ont éventuellement mené à la mise au point de Cold-FX.
Au Canada, la redoutable saison de la grippe bat son plein de novembre à mars. Bien que la grippe ne soit qu’un mauvais moment à passer pour la plupart des gens, on estime qu’environ 12 200 personnes sont hospitalisées à cause de la grippe chaque année au pays, et 3 500 personnes en meurent.
Éponge Scotch-Brite
3M a fait son entrée au Canada en 1951, avec l’ouverture de bureaux administratifs à London, en Ontario. Les éponges 3M ne sont par contre pas toutes fabriquées au pays.
Scotch-Brite est une marque de tampons abrasifs non tissés utilisés pour remplacer la laine d’acier et généralement fabriqués de polypropylène, une résine synthétique. L’industrie canadienne de la résine synthétique employait 4 520 personnes en 2010, et la valeur de ses expéditions était de 6,2 milliards de dollars.
Sac de couchage Thinsulate
3M a fait son entrée au Canada en 1951, avec l’ouverture de bureaux administratifs à London, en Ontario.
Les adeptes de plein air sont nombreux au pays. En effet, on compte chaque année plus de 5,7 millions de campeurs adultes, ce qui génère 4,7 milliards de dollars.
Papier kraft
J’ai dû faire appel à mon imagination et à mes talents de dessinateur pour donner un peu de vie à ce papier qui m’a servi d’emballage pour mes cadeaux de Noël. L’entité derrière ce papier kraft, Premium 1 Papers, regroupe deux grands producteurs de papier kraft de classe mondiale, soit Canadian Kraft Paper Industries Ltd, situé à The Pas, au Manitoba, et Canfor Pulp Ltd de Prince George, en Colombie-Britannique.
545 000 tonnes. C’est le poids approximatif des déchets générés par le papier d’emballage et les sacs d’emplettes chaque année au pays. Rien de très… emballant.
Veuillez prendre note que tous les produits sur le site sont des produits que j’ai trouvés ou qui m’ont été donnés lors de ma quête. Je n’ai aucune affiliation avec les divers fabricants dont les produits sont sur le site, et aucune entente commerciale ou aucun échange de biens et de services n’a été conclu afin qu’ils y apparaissent. De plus, pour des raisons de proximité, plusieurs des produits que j’ai trouvés lors de ma quête proviennent de l’Ontario et du Québec. Les produits sur le site ne représentent aucunement l’offre intégrale des produits canadiens.
Carnet de bord
@Lauraki_C @PYMcsween #zerodechet pc que ce le contenu de nos poubelles ne disparait pas par magie! Ma vie Made in Canada = vivre avec strict minimum #madeincan!
Est-ce qu’une vie #madeincan peut nous aider à tendre vers le #zérodéchet?
Venez écouter ma réponse – et rencontrer plein de gens hyper intéressants! – au tout premier Festival Zéro Déchet de Montréal, samedi 14 octobre au Marché Bonsecours. C’est gratuit!
** Dès 18h: Projection de Straws et panel Au-delà du déchet **
Dans Le Devoir de ce matin, un article sur le nouveau livre de Normand Baillargeon, «À la table des philosophes», dans lequel il aborde la question du locavorisme:
“Aujourd’hui, plusieurs préoccupations sont au coeur du mouvement locavore, dont principalement l’écologie. Manger des produits locaux permet de réduire la distance parcourue lors du transport des aliments importés de l’étranger et limite ainsi la production de gaz à effet de serre (GES). Un argument contesté par les défenseurs du système de distribution agroalimentaire industriel, qui soutiennent que se déplacer en voiture dans les marchés locaux pour obtenir des produits frais engendre autant, si ce n’est plus, de GES.
« Aujourd’hui, il faut repenser le locavorisme et voir les autres raisons de “manger local”, croit Normand Baillargeon. C’est aussi une façon de lutter contre les entreprises transnationales qui s’approprient le marché, ça crée des liens dans la communauté en favorisant les rencontres avec les producteurs locaux, ça améliore notre alimentation. Il faut réfléchir aux valeurs qu’on veut défendre. »”
Êtes-vous d’accord avec lui?
Nourrir la panse et la pensée avec Normand Baillargeon
«S’alimenter est une nécessité dont nous avons fait un plaisir, autour de laquelle nous avons élaboré des rituels, et qui invite chacun de nous à se faire un peu philosophe», écrit d’emblée Normand Baillargeon dans son livre.
Dans la foulée du plan “Canada créatif” de Mélanie Joly, cette chronique d’Yves Boisvert soulève des questions intéressantes: “Y a-t-il encore un semblant de « nationalisme culturel » à Ottawa ? Il fut un temps où le Parti libéral du Canada était le champion du protectionnisme dans toutes les matières vaguement culturelles. On y était obsédé par la nécessité de dresser une forme de barrière pour protéger le Canada de l’invasion américaine en télé, en cinéma, en musique, dans l’imprimé – tout ça essentiellement du côté anglophone, le français servant de barrière naturelle à l’invasion américaine à bien des égards.
Ça n’a pas donné que des résultats heureux, ça a même créé des dérapages majeurs (Cinar…), mais les objectifs et la stratégie étaient clairs : protéger les créateurs d’ici, promouvoir la création made in Canada, tout ça bien entendu pour construire une forme d’identité collective canadienne.”
Est-il important pour vous de consommer la culture d’ici? Devrait-on être plus protectionniste afin de favoriser les produits culturels canadiens?
Un Canada « créatif »� et colonisé – La Presse+
Où s’en va Mélanie Joly ? Elle est difficile à comprendre dans une entrevue ordinaire, on le sait. Mais quand elle annonce un plan stratégique, quand elle lance « Canada créatif », comme hier,